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  • 2008, Ce que tout le monde redoutait était enfin arrivé. Plus rien ne tient debout dans le monde des sorciers Anglais et la plus part des sorciers n'y comprennent plus rien, si ce n'est que la société qu'ils ont connue s'écroule sous le poids des conflits. Malgré que le nouveau ministère proclame qu'il n'y sont pour rien dans les enlèvement Moldu rien ne semble avoir été fait autre que d'étouffer cette affaire. Les étranges expérimentations faites sur les enfants retrouvés n'ont pas non plus été dévoilées au grand jour. Ceux qui savent sont muselés et leurs tentatives de crier la vérité sont avortées. Bien que leurs identités aient été cachées, on sait désormais que certains d'entre eux sont sur le banc de l'école de Sorcellerie Poudlard qui subit de nombreux changements...
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    Pour l'amour d'un frère... - Harold et Judith.
    Judith Lefèvres
    Année d'études : 6 éme année
    Clubs : Duel - Batteuse dans l'équipe de Quiddich
    Sablier personnel : 44
    Celebrité : Bella Thorn
    Judith Lefèvres



    Mer 3 Fév - 4:24
    Pour l'amour d'un frère...
    “Harold & Judith ”

    Depuis quelques temps, elle ne se reconnaît plus. Judith se perd dans des pensée qu'elle n'aurai jamais pensé avoir. «  Mouton noire », «  incapable », « idiote », « mauvaise », « bonne a rien. ». Ses résultat le montre, elle a perdu de nombreuse matière suite a ses BUSEs et Judith a des remord qu'elle n'aurait jamais soupçonné. De nombreux choix d'avenir se ferme devant elle, tout comme l'idée de devenir une grande sorcière comme elle l'a toujours voulut. Assoiffée d'histoire de chevalier, elle va se retrouver a la place de la paysanne a sauver. Judith n'arrive pas a le supporter et ses dernière nuit, bien qu'elle le cache aux yeux d'Elyana sont chargé d'insomnie. Ses pensée, ses paroles la hante. Oui, c'est bien dure d'assumer la conséquence de ses actes.

    Levé a l'Aube comme si elle partait s’entraîner pour le Quiddich, Judith se faufile hors de son dortoir en s’emparant de ses vêtement discrètement. Elle fait le moins de bruit possible pour ne réveiller aucune fille de sa chambrer et s'habille une fois dans la salle commune en planquant dans un coin son pyjama qu'elle viendra récupérer plus tard...si elle y pense. Tout en s'attachant, elle pense a devoir faire un crochet par les cuisine aussi discrètement que possible. Songeuse, mais les yeux déterminée.

    - [ Fr]"On va voir qui c'est l'incapable..." [/Fr]

    Murmure-t-elle avant de quitter la salle commune a une heure où tout le monde dors encore, qu'importe. Judith exécute la première partie de son plan qui consiste a se rendre dans les cuisine en veillant que les lève tôt le l'attrape pas rôder dans un coin où elle n'a pas a traîner. Elle s'en fiche, elle ne reculera pas pour sa première approche. Se glissant silencieusement dans le garde-manger, elle va attraper quelques pièce de viande crue et séchée qu'elle enfile dans sac sans se soucier de son état final. Ce qu'elle veux, c'est du carnivore, du sensationnelle, mais pour ça, il fallait d'abord voir ce qu'elle allait attirer avec la viande. Elle veux du téméraire, un être qui s'approchera au plus prés de la forêt. Elle recommencera autant de temps que nécessaire jusqu'à ce qu'elle décide de véritablement partir a la traque, en chasse quitte a s'enfoncer au plus profond de cette satané forêt. Elle va partir a la chasse et ceux, avant la fin de cette année.

    Toujours a pas de loup, aussi discrète qu'une souris, elle se glisse au premier rayon du soleil a l’extérieur de château avant de se diriger vers la forêt interdite. Elle ne manque pas de jeter un œil derrière elle ainsi que vers les fenêtre de l'école pour s'assurer que personne ne l'a vu, que personne ne l'observe. Elle se tourne, et se retourne sans jamais perdre cette détermination dans le regard. Puis, enfin, elle arrive devant sa destination.

    L'immense foret se dresse devant elle et la seule question qu'elle a en tête c'est de savoir qui elle va bien pouvoir décider de prendre dans ses filet. Cela prendra autant de temps qu'il le faut, et si ça doit prendre une année de plus, ainsi soit-il. Elle inspire profondément avant de souffler un coup sec et de s'engouffre dans la forêt pour la première fois de toute sa vie. Bien sur, elle ne compte pas aller trop loin, mais suffisamment pour attirer une créature avec l'odeur de la viande fraîche qu'elle commence a éparpiller. Tout d'abord, elle en jette devant elle a la volé sans chercher une quelconque cohérence pour baisser la méfiance des créature plus maligne que les autres. Elle recule ensuite peu a peu en dispersant le reste de vivre qui le reste jusqu'à la lisière de la forêt avant de la quitter et de se cacher derrière un arbre.

    Elle venait de faire un premier pas sans encombre. Entrer dans la Forêt interdite. D'accord, elle n'y est pas bien rester longtemps, mais ses visite serons de plus en plus longue jusqu'à la «  Grande chasse. » Son but ultime, le seule et l'unique pour tenter de regagner l’intérêt de sa famille, prouver qu'elle n'est pas une incapable et qu'elle est capable de quelque chose de grand pour une fille de son âge. Ils se fiche qu'elle soit bonne en duel, ils se fichent qu'elle soit douée au Quiddich, seul les résultat compte, et elle va leurs en donné.

    Elle patiente alors, retournant son regard vers la forêt et observe en silence et pour une fois attention au bruit qu'elle pourrait entendre en venant de la forêt. Elle ne s'attend pas du tout a la proie qu'elle va attirer entre ses griffes...

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    Harold Archer
    Compagnon : Léon, un Leonberg (une race de chiens géants)
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    Harold Archer



    Mer 3 Fév - 22:11

    Pour l'amour d'un frère...


    Une piste de chair




    Couché tôt, levé tôt.

    La petite routine d’Harold était bien rodée, et même s’il s’accordait de temps en temps de petits écarts, il était bien souvent levé avec les poules, à part les lendemains de patrouille aux abords de la forêt interdite, ce qu’il faisait une ou deux fois par semaine. Il pourrait s’éviter cet exercice qui ne révélait jamais grand-chose, mais il s’en acquittait toujours par acquit de conscience. S’il y avait un problème et qu’il ne l’avait pas notifié, il jugerait en être l’unique responsable. Comme il savait être dur avec lui-même, il préférait faire les choses de la meilleure façon possible au lieu de se lamenter sur des occasions manquées.

    La veille, il s’était couché après un bon repas et une petite heure de lecture et il était suffisamment reposé pour commencer sa journée. Enfin, presque. Il ne commençait jamais son travail avant d’avoir pris un copieux petit déjeuner (il lui fallait bien ça pour tenir jusqu’à sa pause déjeuner) et une petite promenade digestive en compagnie de son fidèle Léon.

    Alors qu’il se choisissait une infusion dans sa boite pendant que l’eau bouillait sur le réchaud, le chien dormait encore profondément. Il ne se réveillerait que lorsqu’il sentirait l’odeur du pain grillé et viendrait poser une patte sur les genoux d’Harold pour lui en réclamer un bout qu’il obtiendrait, son compagnon humain ne sachant pas résister à ses grands yeux tout tristes.

    Ce matin-là, il avait les yeux un peu embrumé et mis un petit moment à émerger, son infusion l’y aidant bien, tout comme les petites gratouilles distraites qu’il administrait au grand chien. Tartines recouvertes de confitures, un gros muffin et sa tasse fumante d’infusion, quand tout ça eu disparu, il se tapota sa bedaine avec un soupir d’aise. Il s’étira puis fit claquer sa main sur sa hanche pour appeler le chien qui était reparti sur son énorme coussin.

    — On y va, mon gros.

    L’animal se jeta vers la porte, faisant trembler tous les meubles et en frappant certains à l’aide de sa queue battante. Le chien avait une laisse, mais Harold ne l’utilisait jamais à Poudlard, le domaine étant suffisamment étendu pour que Léon puisse faire de longues balades sans se lasser. Ils se promenèrent un long moment et lorsqu’ils revinrent en vue de la cabane, le soleil finissait de se lever sur l’école et la journée promettait d’être bien remplie. Harold rentra chez lui pour récupérer quelques outils pour son travail et lorsqu’il se retrouva à l’extérieur, il remarqua que Léon était à l’affut.

    — Eh bah alors, tu as senti un lapin ?

    Comme il avait pris un peu d’avance sur son planning, il suivit le chien qui s’approchait dangereusement de la forêt interdite. Ce n’était pas normal. Le chien, malgré sa taille imposante, était le pire des trouillards et il détestait ne serait-ce que poser une patte dans la grande forêt. Il n’accompagnait jamais Harold lors de ses patrouilles et préférait rester au chaud à la maison. Même la chasse de petits animaux ne l’intéressait pas plus que ça, n’ayant pas besoin de ça pour avoir à manger en abondance. Le comportement de Léon intriguait donc beaucoup le garde-chasse et cela pouvait montrer qu’il y avait un problème dans la forêt, ce qui était de son ressort. Léon suivait une piste et se jeta soudainement sur quelque chose. Quand Harold rejoignit le chien, il constata que le chien dévorait une pièce de viande crue. Il voulait que Léon la lâche, mais cela ne servait à rien, la viande ayant disparu en quelques coups de dents tranchantes.

    Non vraiment, ce n’était pas normal et il n’était pas rassuré. Qui avait pu venir dans la forêt pour y déposer de la viande ? Car ce n’était pas des restes de petits animaux morts récemment, mais bien de la viande correctement tranchée qui semblait déjà avoir été un peu préparée. Il craignait qu’elle n’ait été empoisonnée et que son compagnon tombe mal, voire meurt, ce qui était hors de question. Il observait Léon marcher et suivre la piste qui ne s’arrêtait pas là. Il trouva un morceau de viande séchée, ce qui prouva ce qu’il pensait : après tout, les animaux n’avaient pas l’habitude de faire sécher les autres animaux avant de les manger. Non, ils les dévoraient, tout simplement. Comme la piste continuait, il saisit son chien au collier pour l’empêcher de se rendre malade en avalant toute la viande sur le chemin. Quand finalement, il aperçut la coupable, à la chevelure rousse très reconnaissable, il se permit de respirer plus facilement. Si c’était Judith, il n’avait rien à craindre pour la santé de Léon ; elle n’aurait jamais eu l’idée d’empoisonner les pièces de viande. C’était un gros soulagement.

    — Judith ? C’est toi qui es la responsable de ça ? lui demanda-t-il en lui montrant un des morceaux de viande recouverts de terre qu’il avait ramassée pour le tenir loin du grand chien.

    Il allait lui dire qu’elle ne risquait pas d’attirer grand-chose à une telle distance de l’orée de la forêt, mais il préféra se taire. Ce n’était pas la peine de lui donner de mauvaises idées, elle en avait suffisamment toute seule. Il savait qu’un jour, il la trouverait là, alors il n’en était pas étonné. Il l’avait suffisamment vue rôder à l’orée de la forêt ces dernières années et il était même assez impressionné qu’elle ait réussi à attendre sa sixième année pour se lancer.

    T’es au courant que la forêt est interdite quand même ?

    Comme c’était sa première infraction au règlement (au moins pour ce méfait), son ton resta agréable et il afficha un léger sourire pour qu’elle n’ait pas peur de lui parler. Il se ferait sans doute plus cassant si elle recommençait ses expériences et il espérait bien que ce serait la dernière fois.

    Il se doutait que ce ne serait pas le cas.

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    Judith Lefèvres
    Année d'études : 6 éme année
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    Judith Lefèvres



    Jeu 4 Fév - 0:42
    Pour l'amour d'un frère...
    “Harold & Judith ”

    Judith évite de rester fixe et statique a fixer la lisère. Elle se contente de rester le dos coller au tronc de son arbre en tâchant de rester le plus attentive possible. Pourtant, ses courtes nuit la pousse a dormir en plein cours et en ce moment, elle ne parviens pas non plus a garder les yeux ouvert bien longtemps a cause de son inactivité. Elle a toujours eu du mal a patienter, a rester sans rien faire et a s'ennuyer, c'ets toujours par l'ennuis que commence toujours la liste des longues mésaventure de la jeune fille. Elle entend soudain du bruit venant des buissons a l'orée de la forêt. Judith se reveilla d'un coup sec avant de se mettre a quatre patte, la tête dépassant de son arbre planqué. Prête, très attentive, les yeux plissé vers les mouvement a l'interieur avant d'apercevoir un museau qu'elle connais bien attraper dans sa gueule le dernier bout de viande qu'elle voyait dépasser  la truffe t le museau d'un chien qu'elle connais maintenant plutôt bien.

    - N-Non !

    Elle murmure ses mot relativement fort, en tentant de se faire remarquer par Leon, le chien du garde chasse de déguerpir et surtout d'arrêter de manger ses appât !

    - Arrête Léon, c'est pas pour toi ! Vilain chien ! Oust ! Oust !

    Sur le moment, elle avait eu la naïveté de penser que le chien se baladait a l’intérieur de la forêt interdite sans son maître. En vrai, c'est surtout que ça l'arrange bien de penser comme ça. Si jamais, surtout maintenant, on l'attrape en train de rôder par ici, surtout avec preuve forte accablante qu'elle y est rentré. Malheureusement, l'un viens rarement sans l'autre et la silhouette du garde chasse s'est rapidement fait voir a sa suite. Elle ne pris même pas la peine de se cacher rapidement, car il avait presque immédiatement déjà posée le regard sur elle.

    - Judith ? C’est toi qui es la responsable de ça ?

    Il tenait entre sa main une pièce de viande, l'un de ses nombreux indice de son crime. Son regard deviens quelques instant blasé, se détournant du garde-chasse en observant un point, au loin totalement imaginaire. Une moue apparaît sur son visage, celui de celle qui sait, qu'elle va passer un mauvais quart-d'heure, pour changer. Pourtant, elle c'était levé tôt, elle avait fait attention a TOUT jusqu'ici, pourquoi ça n'a pas marché ? En plus d'être une décéption d'un point de vue général, elle l'est maintenant pour elle même. Elle n'aime pas du tout cette sensation.

    -..C'possible...

    Dit-elle entre ses dents. Ca ne sert pas a grand chose de nier dans ses cas là, surtout qu'elle est un peu la seule présence humaine dans les parrages autre que lui.

    — T’es au courant que la forêt est interdite quand même ?

    Judith soupire en se redressant de sa cachette. Elle frotte ses jambes salit par la terre et l' herbe humide de la rosée matinale. Elle pouvait lui faire l'affront de faire comme si elle le savait pas et par extension, se moquer totalement de lui a faire son effronté innocente mais elle aimais bien Monsieur  Archer. Elle n'avais pas vraiment envie de jouer a ce petit jeu là avec l'un des seule adulte de cette école qu'elle peu apprécier.

    - J'sais bien que je suis pas très intelligente...mais j'crois qu'au bout de six ans, ça a finit par rentrer, oui...

    Elle ne savait pas trop ce qui allait se passer maintenant, surtout ce qu'elle est bien pouvoir raconter sur le pourquoi du comment elle avait fait tout ce manège. Elle avait bien deux trois idée dans sa tête, mais l'ennuis, allait de faire croire au garde-chasse de baisser sa vigilance en ce qui la concernait. Il fallait vraiment qu'elle trouve une excuse, un truc qui fait que ça pourrait éventuellement la seule et unique fois qu'elle ferait ce genre de chose.

    Elle dirige son regard sur Léon qui devait sacrément être heureux de s'être taper un plein ventre d'une viande aussi qualitatif que celle des cuisine de Poudlard. Ce chien allait être un sacré problème pour sa prochaine tentative si il l'avait été pour sa première. Entrer dans la forêt interdite n'a jamais fait partie de ses projet jusqu'à aujourd'hui mais elle en a vraiment assez de passer pour la dernière des incapable. Elle a trouvé cette idée pour redorer son blason aux yeux de sa famille et elle sait qu'il faudrait au moins « ça » pour arriver a valoir quelque chose a leurs yeux. Des idée, elle en a souvent quand il s'agit de faire des bêtises, mais pour une fois, il lui en viens une autre, et plutôt ingénieuse pour tenter de noyer le poisson. Elle se tente.

    Judith soupire une nouvelle fois, puis redresse son visage vers Harold avant de lui dire.

    - Bon, j'imagine qu'on va dans le bureau du sous-directeur ?

    Judith, avec le temps était devenue presque un cas personnelle de Monsieur Wade qui mettait déjà un point d'orgue sur la discipline ; Depuis l'années dernière, c'est chez lui qu'elle finissait toujours par atterrir. Une routine.

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    Harold Archer



    Sam 13 Fév - 22:42

    Pour l'amour d'un frère


    Réprimande et réconfort




    Même si Harold était soulagé que la coupable soit Judith et pas une personne mal intentionnée qui en aurait après les animaux vivants dans la forêt interdite, il n’était tout de même pas ravi de la trouver là. La forêt était un endroit dangereux et même si elle était à présent assez âgée pour se débrouiller, elle était encore assez jeune pour se fourrer dans une situation dont elle aurait du mal à s’en sortir en un seul morceau. Certes, elle n’était pas partie trop loin, mais il y avait fort à parier qu’elle recommencerait et qu’elle finirait par s’enfoncer de plus en plus loin au cœur de la forêt. C’était presque une évidence pour Harold qui la connaissait depuis sa première année.

    Il lâcha le collier du chien pour qu’il puisse aller saluer la jeune fille qu’il connaissait bien, mais au lieu d’aller à sa rencontre, il préféra attraper le bout de viande que le garde-chasse tenait à la main. Harold ne résista pas et lâcha la pièce de viande à Léon qui s’assit à ses pieds pour la dépiauter. Bon, l’animal aurait moins de croquettes ce soir, mais ce n’était pas quelques morceaux qui allaient le faire tomber malade. En gardant un œil sur Judith, il caressa le grand chien.

    — Meuh non, ne l’écoute pas, t’es un très très très bon chien. Le meilleur chien du monde.

    Judith avait avoué, à demi-mots, qu’elle était effectivement la responsable de la piste de chair dans la forêt et elle semblait ne pas oser regarder le garde-chasse. Il ne savait pas trop si elle regrettait ses actes ou si elle regrettait simplement de s’être fait prendre. Peut-être un peu des deux options. Malgré tout, le regard de Judith l’attendrit un peu lorsqu’elle se relève. Le fait qu’elle se considère comme peu intelligente lui serre le cœur et au lieu de la réprimander, il préfère lui redonner confiance en elle, confiance qui semblait s’être délitée depuis qu’elle avait dû abandonner plusieurs matières à la suite de ses Buses.

    — Ne te sous-évalue pas comme ça, voyons. Tu as beaucoup de qualités et de choses qui te rendent unique. Tu ne le vois sans doute pas et c’est normal, mais je sais que tu as tout ça en toi. L’intelligence ne fait pas tout et tu l’es bien plus que tu ne le crois.

    Il ne savait pas si c’était ce qu’elle avait besoin d’entendre, mais c’était ce qu’il avait envie de lui dire… avant de devoir la réprimander.
    Judith leva alors la tête pour le regarder dans les yeux et demanda, même si elle n’en doutait pas, s’ils allaient dans le bureau du sous-directeur. Il savait que Judith était une habituée des lieux et que ce ne serait qu’une formalité pour elle, même si elle voudrait sans doute éviter une nouvelle confrontation avec Monsieur Wade. Alors il secoua la tête.

    — Pas cette fois. Ce n’est que la première fois… et je ne tiens pas à aller embêter Monsieur Wade aussi tôt dans la journée. Mais tu dois bien comprendre que ce n’est pas un traitement de faveur. Si je te retrouve à nouveau à rôder dans la forêt, je serai obligé d’en avertir Monsieur Wade.

    Il n’aimait pas devoir réprimander les élèves, d’autant plus ceux dont il était proche, mais des fois, il y était bien obligé. Maintenant que la partie délicate était passée, il pouvait passer à une qui serait normalement plus agréable.

    — Est-ce que je pourrai savoir ce que tu es venue faire ici ? Qu’espérais-tu attirer avec tes appâts ? Pas un gros chien gourmand, à mon avis, dit-il en flattant les flans de Léon qui finit par aller saluer la jeune fille.

    Il espérait qu'elle serait assez à l'aise pour se confier à lui.


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    Judith Lefèvres
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    Judith Lefèvres



    Mar 23 Mar - 2:26
    Pour l'amour d'un frère...Judith & HaroldPremière tentative d'approche, première echec et c'était a s'en douter. Judith avait autant de chance qu'un Big-Mac devant une troupe d'obèse, vraiment. Elle avait beau avoir pris toute les précaution possible et inimaginable, cela n'avais rien changer, un autre échec. Evidemment le fait qu'elle dise que Leon était un vilain chien n'était pas a prendre au pied de la lettre même si il avait manger tout ses appâts, après tout c'était un animal lui aussi...mais pas celui qu'elle voulait agripper dans ses filet. Comme d'habitude, Judith s'apprête a n'écouter que d'une oreille lorsqu'on la réprimande de chose qu'elle sait déjà mais cette fois, il y avait la frustration en plus. Là, ce n'était pas une petite blague qui avait été avorté prématurément et qu'elle s'en fichait pas mal dans le fond, non. C'était autre chose. Les mêmes phrase bateau comme a chaque fois

    «  Oui Monsieur, non Monsieur... »

    Pour faire passer la pilule et que cet instant dérangeant ne cesse et pourtant, les mot qu'avait choisit Judith était bien loin de plaire au garde-chasse qui ne manque pas de la corriger.

    - Ne te sous-évalue pas comme ça, voyons. Tu as beaucoup de qualités et de choses qui te rendent unique. Tu ne le vois sans doute pas et c’est normal, mais je sais que tu as tout ça en toi. L’intelligence ne fait pas tout et tu l’es bien plus que tu ne le crois.

    Elle ne pu s'empêcher que de souffler du nez un rire silencieux en regardant vers le sol. Un sourire en coin d'incrédulité sse dessine sur son visage ainsi qu'une négation du même timbre de la tête. C'était plutôt lui qui la sous-estimait. Il n'y avait pas plus idiot que ce qu'elle s'apprêtait a faire parce que, le pire, c'est qu'elle en connait les risque. Elle s'en fiche des risques, tout ce qu'elle veux c'est parvenir a son objectif en un seul ou plusieur morceau. Tout le monde c'était toujours acharné a la rabaisser que la tentative d'Harold de vouloir lui faire entendre le contraire avait beaucoup de mal a prendre, en faite, ça ne prenait pas du tout a son attitude désabusé.

    - C'est gentil Harold, mais vous esquintez-pas va.

    Elle redressa son visage un instant vers lui. Est-ce qu'elle avait été déjà aussi familière avec lui ? Elle ne s'en souviens pas, c'était sortie tout seule, un peu comme toujours d'ailleurs. Tout sort toujours tout seule que se soit ses idée brillante comme sa franchise sans limite. Elle avait tout de même espère que son aller au bureau de Monsieur Wade couperait cours aux explication de Judith. Avec lui, il était pas question qu'il ne la laisse parler. Il allait parler pendant trois plombe, comme d'habitude, lui dire a quelle point elle était navrante, comme d'habite et la mettre en retenue, comme d'habitude. Encore une fois, Monsieur Archer ne lui laissa pas cette occasion.

    - Pas cette fois. Ce n’est que la première fois… et je ne tiens pas à aller embêter Monsieur Wade aussi tôt dans la journée. Mais tu dois bien comprendre que ce n’est pas un traitement de faveur. Si je te retrouve à nouveau à rôder dans la forêt, je serai obligé d’en avertir Monsieur Wade.


    Elle soupire. Difficile de savoir si c'était un soupire de soulagement ou non et même si c'était la première fois ce matin, il allait y en avoir d'autre, bien d'autre encore. Il lui restait plus que deux ans pour arriver a ses fins, c'était maintenant ou jamais pour elle de faire ses preuves. Elle n'était même pas sur que cela fonctionnerais en plus. Elle se contenta d'hocher sa tête, comme pour un remerciment, mais le sourire éclatant de Judith n'avait pas l'air d'avoir envie de se pointer aujourd'hui. Non, elle regardait ailleurs.

    — Est-ce que je pourrai savoir ce que tu es venue faire ici ? Qu’espérais-tu attirer avec tes appâts ? Pas un gros chien gourmand, à mon avis...

    Bon sang...Bien évidement que du coup, il allait lui demander des explications. Judith, anormalement silencieuse observe le chien se faire cajoler par son maître sans vraiment savoir trop quoi répondre sur le moment. Elle ne pouvait clairement pas lui dire son plan au risque qu'il reste vigilent et qu'il l'empêche de partir a la chasse. Ça ne peu pas s'arrêter comme ça, pas maintenant.  Nerveusement, elle ronge l’intérieur de sa lèvre le regard toujours vers le chien. Elle a pris bien trop de temps avec une allure bien trop hésitante pour se préparer a dire la vérité.

    - J'avais juste envie de savoir quelle genre de carnivore il y avait dans le coin, attirer leurs attention ici, et m'enfoncer un peu plus dans la forêt et commencer a l'explorer. C'est tout.


    Ça aurait pu être crédible si elle n'avait pas pris autant de temps pour répondre et qu'elle ne semblait pas aussi...différente que d'habitude. Elle était distraite, elle s’efforçait a ravaler toute sa frustration qui bouillonnait en une colère sourde au fond d'elle pour ne pas la laisser éclater. Elle a toujours été comme ça, tout refoulé mais la marmite arrive a saturation, elle ne parviens plus a faire semblant sur les sujet qui lui tiens a cœur comme celui-là.

    - 'Semblerait que c'est vous qui m'avez un peu sur-évaluer pour le coup hein...?

    Elle n'avait pas quitter son regard de Leon depuis qu'elle avait commencé a se chercher une excuse. Elle n'avait rien contre l'animal et en parlant d'excuse, elle lui en devait. Plongeant dans un mutisme temporaire, elle finit par sortir le dernier morceau de viande fraiche de son sac pour le déposer sous la truffe de l'animal. Si Judith avait sa journée gâcher, autant qu'il y en est au moins un qui en profite un maximum..
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