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  • 2008, Ce que tout le monde redoutait était enfin arrivé. Plus rien ne tient debout dans le monde des sorciers Anglais et la plus part des sorciers n'y comprennent plus rien, si ce n'est que la société qu'ils ont connue s'écroule sous le poids des conflits. Malgré que le nouveau ministère proclame qu'il n'y sont pour rien dans les enlèvement Moldu rien ne semble avoir été fait autre que d'étouffer cette affaire. Les étranges expérimentations faites sur les enfants retrouvés n'ont pas non plus été dévoilées au grand jour. Ceux qui savent sont muselés et leurs tentatives de crier la vérité sont avortées. Bien que leurs identités aient été cachées, on sait désormais que certains d'entre eux sont sur le banc de l'école de Sorcellerie Poudlard qui subit de nombreux changements...
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    Puisse le sort vous être favorable - Jin
    Noor Llewellyn
    Année d'études : 6ème année
    Dons/Particularité : Incarnation de la Terre
    Clubs : Club de duel et de littérature
    Sablier personnel : 19
    Celebrité : Zendaya Coleman
    Noor Llewellyn



    Mer 9 Déc - 0:23
    Puisse le sort vous être favorableNoor & Jin Sous la couleur ocre de septembre en cette fin d’après-midi, le croquis se dessinait en filigrane sur la page de son carnet. L’étang avait beau faire partie des sujets les plus représentés parmi ses nombreuses peintures et autres peintures mortes, Noor avait retrouvé son poste habituel et dans cet exercice, une sorte de familiarité tranquille. Confortable. Ses pieds nus chatouillaient les brins d’herbe, sans qu’elle n’essaie de faire jouer son don pour cette fois. Elle voulait toutes ses pensées ancrées sur le dessin qui était en train de naître sous ses yeux. Elle ne saurait dire si c’était la pratique de son don ou de son art qui avait entraîné cet excès d’acuité chez elle. Toujours était-il qu’elle se sentait incroyablement plus centrée sur elle-même et paradoxalement consciente de son entourage. Ses yeux cherchaient les détails qui lui faisaient réinventer à l’infini un même décor, quand ses oreilles restaient sourdes aux activités et conversations futiles de ses camarades non loin, empêchant son esprit de se disperser. Pourtant, oh, il elle en aurait eu des choses auxquelles réfléchir ! La rentrée était à peine entamée, et alors qu’elle-même en était rendue aux années charnières, il lui semblait que Poudlard se faisait le théâtre de changements, lui aussi. La nomination de leur nouvelle directrice et l’autorisation pour les élèves de mener des expérimentations magiques étaient définitivement le signe d’une page qui se tournait, d’une nouvelle politique éducative. Noor ne savait d’ailleurs, pas quoi en penser. Si les salles d’expérimentation pouvaient lui permettre de travailler son don, entre autres choses, qui sait si cela n’allait pas mener à des débordements ? Oh, on pouvait bien la renvoyer à sa jeune expérience et lui dire qu’elle n’était pas en âge de s’intéresser à la politique, elle répondrait vertement qu’elle ne serait jamais trop jeune pour formuler ses propres opinions.

    Mais pas cette fois, car tous ces nuages préoccupants étaient tenus loin, à distance, par son art et toute l’attention qu’elle lui accordait. Si ce n’avait été l’ombre qui s’était étendue sur la page griffonnée de son carnet, rien n’aurait pu lui en faire lever les yeux avant qu’elle ne s’estime pleinement satisfaite. Perturbée, Noor leva la tête à temps pour voir un oiseau fondre sur elle. Son apparence bien trop familière suffit à lui épargner un geste de recul instinctif. Elle fit déjà quelques prémices de question dans son esprit. L’oiseau n’était autre que Plume Noire, l’inséparable compagnon du professeur Wade, bienfaiteur de l’Orphelinat de son état et professeur de Défense contre les Forces du Mal. La présence du rapace n’avait rien d’ordinaire, car s’il se laissait facilement approcher lorsque Wade leur rendait visite à l’orphelinat, il n’en était rien une fois à Poudlard, tout du moins ne venait-il pas chercher leur contact volontairement. « Hey, qu’est-ce que tu fais là, toi ? », demanda Noor en tendant une main patiente pour caresser sa tête familière. Ce fut à cet instant qu’elle remarqua le morceau de parchemin attaché à sa patte. La jeune fille le récupéra et le déroula pour prendre connaissance de son contenu. C’était signé de la main du professeur Wade, qui lui proposait de le retrouver dans son bureau dans une heure. Non ; proposer n’était pas le bon terme. Le style concis et les phrases lapidaires ne laissaient aucun doute quant à la nature du mot : elle était convoquée.

    Cette réalisation fit naître une ombre dans ses pensées, un pli soucieux sur son front. Wade ne donnait pas dans la sympathique petite entrevue de début d’année (et d’ailleurs, quand elle se souvenait du rendez-vous d’orientation de l’année dernière, cela était sans doute pour le mieux). Les convocations dans son bureau n’étaient jamais anodines… et encore moins de bon augure. Qu’avait-elle bien pu faire pour s’attirer son attention si tôt dans l’année ? Noor voulut croire un instant que cela avait un rapport avec l’Orphelinat avant de chasser cette hypothèse d’un froncement de sourcil agacé. Si elle devait avoir des raisons de s’inquiéter sur le sujet, elle ne serait certainement pas l’interlocutrice privilégiée du professeur, elle s’en doutait bien. Et quand bien même les enfants qu’il avait amenés là-bas le connaissaient dans un tout autre contexte, cela ne le poussait guère à les côtoyer une fois qu’ils se retrouvaient dans l’enceinte du Château.
    Noor finit par secouer la tête. Peu importait la raison, elle n’échapperait pas à ce rendez-vous. « Très bien, j’y serai », murmura -t- elle pour elle-même. A cet instant, comme s’il avait eu la confirmation qu’il attendait, l’oiseau s’envola à tire d’ailes. La jeune fille se pressa de rassembler son matériel de dessin avant de reprendre le chemin de la salle commune de Serpentard. Il serait très certainement de mauvais goût de se présenter dans le bureau de monsieur Wade les pieds encore nus et la plante brunie du contact de la terre, et l’uniforme toujours froissé des heures passées assise dans l’herbe.

    A l’heure convenue, Noor se présenta devant le bureau et porta ses doigts joints contre le panneau de la porte. Elle attendit l’invitation à entrer avant de pénétrer dans la pièce. « Bonsoir, professeur Wade. Vous avez demandé à me voir ? », s’enquit-elle par pure politesse. Droite, elle restait debout sans trop savoir quelle attitude adopter. Le professeur faisait montre de cette aura d’autorité qui ne nécessitait qu’à peine de s’illustrer par des mots. Suffisamment pour que Noor ne fasse jamais preuve de cette petite suffisance qui lui prenait parfois face à certains professeurs dont les méthodes lui semblaient obscures. La question du motif de sa convocation continuait de tourner dans son esprit, sans qu’elle n’ose la formuler à voix haute ; seul son regard restait patiemment fixé sur le professeur, attendant sa réponse.


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    Jin Wade
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    Jin Wade



    Mer 9 Déc - 1:39
    Puisse le sort vous être favorableNoor & Jin

    Le gros rapace n'avait pas pour habitude de fréquenter la volière. Souvent au bras du professeur Wade armée d'un gant de fauconnier, sur ses pas ou sur ses différent perchoir intérieur, les cygnes ne vole pas avec les pigeons de son point de vue. De toute façon, l'animal était aussi seul que l'humain avec lequel il est liée. Les autres animaux le détestent. Il est moitié homme, les humains le sente parfois au travers de son regard d'une intelligence similaire a la leurs, et les animaux sente l'instinct de l'humain en lui dans un corps et une nature qui leur est pourtant proche. C'est pour ça, qu'il avait été rejeté des siens et qu'il avait trouvé son véritable frère là ou ses heures était perdue. L'un ne sert pas plus l'autre, ils sont dévoués dans la vie, tout comme dans la mort.

    Il s'échappe de la porte entrouverte du bureau a vive allure, surprenant les élèves qui passaient devant le bureau mal famé du directeur de Serpentard qui se referme aussitôt dans un claquement sourd. Il porte un message a sa patte et il n'est pourtant pas un pigeon. En générale, il était annonciateur de mauvaise nouvelle et il n'est pourtant pas un corbeau non plus, bien qu'il en a souvent le verbe. L'oiseau quitte le château par la grande porte, cherchant tout d'abord a l'extérieur la présence d'une jeune fille qu'il connaissait bien a qui était destiné le message du professeur. Il monte en altitude, battant de ses ailes épaisse et de plus en plus puissante avec le temps qui passe. Sa tête se baisse, cherchant la crinière bouclée de l'orpheline, et au bout de quelques instants, il l'aperçoit quelques choses qui pourraient y ressembler ; il redescend pour vérifier sa théorie. Elle dessinait, installée pied nu sur le sol.

    «  Je l'ai trouvée, Jin. »

    L'oiseau cède une place à son camarade humain au travers de son regard pour qu'il observe ce qu'il vois en perdant de l'altitude jusqu'à se poser Non loin d'elle. Même si l'oiseau ne pouvait être aussi discret qu'autrefois de par sa taille, elle semblait si absorbée qu'elle ne l'avait pas remarqué. L'animal en profite alors pendant qu'elle ne décerne pas sa présence, penchant son bec vers le dessin. Il observe l'étendue d'eau naturelle a laquelle elle donne vie en silence dans son coin, enfermé dans son monde, comme beaucoup des Enfant Perdu.

    « ...C'est un truc que j'ai jamais vraiment compris ça. Si elle aime l'eau, pourquoi elle ne reste pas au bord au lieu de la dessiner pour la regarder en moins bien ? »

    «  On a rarement vu des faucons faire de l'art avec des os de lapin, mon frère. C'est typiquement humain. Leur vie complexe les pousse à exprimer certaines choses à leur façon. Tu en as déjà souvent l'expérience. »


    « Peut-être, mais je ressens ce que tu fais en même temps. Là, je ne ressens rien. »

    Au beau milieu de leur conversation spirituel, ils sont interrompus par la jeune fille qui a dressé son regard vers lui.

    « Hey, qu’est-ce que tu fais là, toi ? »

    L'oiseau descend alors de son perchoir se posant non loin d'elle, a porté de sa main. Certes, il portait un message, mais il avait toujours été bienveillant avec eux, et il voulait que cela reste imprimé dans leurs cervelles complexe d'humain. Il agite légèrement ses ailes de contentement et se laisse faire alors qu'il reçoit les doigts de Noor sur son plumage qui frissonne légèrement de contentement. Cependant, il gratte sa patte sur le sol, un signe pour qu'elle porte attention sur le message qu'il vient a la base lui délivrer. Son visage s'était rendu assez sérieux, ce qui amusa l'oiseau, comme toujours.

    «  J'aime tellement voir leur tête quand ils reçoivent un message de toi. On dirait que tu vas les bouffer à chaque fois. »

    «  À juste titre. »


    Il rit intérieurement aux paroles de son frère humanoïde, et laisse la jeune fille formuler à haute voix sa réponse. Le professeur la bien entendu également, et l'oiseau repart ensuite après un nouveau petit cris en guise de salut pour rejoindre son camarade.

    Ils l'attendaient, tous les deux. L'un assis sur la chaise devant un tas de feuilles, et l'autre posé sur son perchoir. Il n'avait pas envie de rater la scène, pour rien au monde d'ailleurs. Il aimait beaucoup observer les interactions entre les humains, surtout quand il s'agissait de Jin. À l'heure convenue, elle frappe à la porte.

    " Ah, le spectacle va commencer."


    - Entre.

    Prononce la voix stricte de l'humain qui se tenait derrière. Il croise ses bras sur la table, fixant son élève pénétrer dans la salle. Son regard était froid, fixe, comme à son habitude, celui d'un prédateur partant en chasse, il avait toujours ce regard. Quant à Plume Noire, lui-même fixait la petite, se délectant de son regard de biche qui a peur d'être la proie.

    " Elle "flippe" comme disent les jeunes humains.
    " Je sais."


    « Bonsoir, professeur Wade. Vous avez demandé à me voir ? »

    Il laisse quelques instants de silence, observant la jeune fille, appréciant sa crainte de prendre ses aises, laissa plume noire se délecter de son insécurité avant d'y mettre fin

    - Bonsoir Noor. En effet. Installe toi.

    Il l'invite d'un geste de la main à prendre l'un des deux sièges en face de lui et patiente avant de commence a exposer brièvement le sujet de cette convocation.

    - Il y a quelque chose que j'aimerais te montrer.

    L'homme décolle l'un de ses bras de la table de bois et tire de derrière le bureau un cadre d'une seule main assez imposant au point d'en joindre une seconde, puis il se redresse debout pour le tourner face a la jeune fille.

    C'est une toile peinte a la main, un tableau qui se révèle très particulier dès le premier regard. Le sujet est un homme caucasien assis sur un tabouret tenant une guitare entre ses mains. Ses cheveux sont châtain, mi-long, ses yeux sont clos et un léger sourire se dessine sur ses lèvres, l'expression tendre et passionné. Derrière lui, une fenêtre ouverte, il fait un grand soleil et les nuages blanc comme la neige passe dans un grand ciel aux couleurs de l'automne. Oui, les nuages passent dans une animation saccadée, lente et pourtant donne une impression de fluidité surréaliste. Les grands rideaux nacrée de la fenêtre ondule sous un vent invisible, faisant danser la chevelure légère du guitariste dont des reflet plus claire apparaisse de temps en temps reflétant la lumière de l'astre dans son dos. Son visage balance dans la même animation sur l'air qu'il semble jouer alors que ses doigts donnent naissance à une première feuille de teinte rouge, puis une autre orangée, une autre jaune, marquant le rythme d'une musique que chacun peu imaginé dans son esprit, l'esprit le plus sensible et ouvert aux arts. L'animation, en réalité donne le tempo de cette musique, un tempo doux, une ballade tendre, racontant le récit de la saison actuelle. Le coup de pinceau se veux a la fois réaliste, mais ne veux en aucun cas sortir du cadre du dessin, c'est un choix enrobant le tableau entre deux monde, le réel, et l'imaginaire.

    Un art très rare en Angleterre et les rares toiles des sorciers européens sont bien loin d'être à un tel niveau. Il garde le silence en observant la jeune fille contempler la toile de long instant, un tableau qui est signé, c'est un originale. Il ne dit cependant rien de plus, il la laisse, mais son regard fixe sur elle est parlant, il attend de voir si elle sait de quoi il s'agit exactement.



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    Dim 14 Mar - 23:18

    Puisse le sort vous être favorable (ft. Jin Wade)


    La voix de Mr. Wade, droite et franche comme à l’accoutumée, l’avait invitée à rentrer dans le bureau. La jeune fille se trouva accueillie par un double regard qui la scrutait sans ciller, celui de l’homme face à elle comme celui de l’oiseau. Sans s’égarer dans les banalités d’usage dans une conversation, son professeur lui enjoignit d’emblée de prendre place face à lui, ce qu’elle s’empressa de faire. Cette nouvelle proximité, dans le silence pesant du bureau, ajoutée à cette incertitude qui persistait quant à la raison de sa présence ici, lui rendait l’attente difficile. Aussi difficile que le poids du regard de Mr. Wade qui ne la lâchait toujours pas, et Noor sentit ses propres yeux dériver légèrement vers les rainures du bois de la table qui les séparait. Toute fière qu’elle pouvait se montrer face au corps professoral en temps normal, le professeur de Défense contre les forces du mal savait jouer de cette aura qui faisait s’effriter sa belle assurance.

    Avant même qu’elle n’ait eu le temps de reprendre la parole pour s’enquire de la raison de cette convocation imprévue, il annonça : « Il y a quelque chose que j’aimerais te montrer ». La curiosité se heurta à une vague d’inquiétude. Allait-il tirer d’un tiroir une copie bâclée, même si tôt en ce début d’année, et lui agiter sous le nez un manque de rigueur inacceptable à son niveau ? Mais déjà, avant même que la crainte ne s’ancre définitivement dans son esprit, elle le vit s’affairer à tirer un lourd objet de derrière la table. Trop volumineux pour une copie, ou même pour son dossier scolaire dans son ensemble.
    Puis l’expression de ses yeux changea. Ils s’écarquillèrent légèrement de surprise. Car c’était un tableau que Mr Wade lui présentait, sans mot dire.

    Un léger sourire intrigué étira ses lèvres, ses sourcils se froncèrent, tandis que son attention se focalisait sur le tableau. L’inquiétude se gomma de ses traits tandis que ses yeux s’allumaient de cette lueur intéressée, curieuse, cette expression qui ne manquait jamais d’épouser les traits de son visage dès qu’un défi ou quoique ce soit venait titiller sa curiosité et sa soif de comprendre. L’art, en général, était une source inépuisable d’émerveillement et d’intérêt. Elle ne dit rien à son professeur, laissant le silence s’éterniser, les secondes s’étirer encore et toujours. La seule différence était qu’elle ne s’en préoccupait plus, qu’elle en avait à peine conscience. Noor prit le temps de détailler la toile, la scène qui se jouait sous ses yeux. Le cadre, tout d’abord, les traits les plus évidents de l’artiste, l’impression générale qui se dégageait du tableau et qu’elle accueillit toujours sans un mot. Puis, chaque fois que ses yeux s’y reposaient, de nouveaux détails venaient l’enchanter.

    La jeune Serpentard se pencha un peu plus en avant, une main presque tendue vers la toile comme pour mieux apprécier la finesse des traits de l’homme représenté, les jeux de lumière et les émotions qui menaient une danse commune sur son visage. C’était toujours la même scène qui se jouait sous ses yeux, le mouvement se répétant à l’infini, et pourtant Noor ne put s’empêcher de penser que c’était comme si le tableau vivait de lui-même, comme un miroir, une fenêtre sur un ailleurs lointain, à la fois familier et inaccessible. Les deux mains de la jeune fille vinrent se joindre sous son menton, alors qu’elle se redressait, les yeux plissés. Elle passait ses journées à arpenter des couloirs emplis tableaux vieux parfois de plus d’une centaine d’année sans que la vie des portraits ne s’en échappe. Et pourtant, cette toile, bien que silencieuse, lui laissait cette vibrante impression de vivacité, d’autre chose. Une chose qu’elle n’avait jamais pu constater de ses propres yeux.

    Le professeur Wade n’avait formulé aucune question, mais à son regard inquisiteur et au silence dont elle prenait à nouveau conscience, Noor eut l’impression qu’il s’attendait à ce qu’elle parle. Rien n’avait été dit, jusque-là, pas un geste n’avait troublé l’instant, et pourtant son esprit bouillonnait. « C’est magnifique », commenta -t- elle presque songeuse. « Le style est à la fois si épuré et en même temps si… mh. Si vivant ! », reprit-elle, faute de trouver des mots plus adéquats pour décrire le fond de sa pensée. « C’est si différent de ce qu’on voit comme technique ici. Je ne sais pas si je saurais la nommer… est-ce que des runes sont impliquées dans la composition, ou la peinture utilisée ? », hasarda -t- elle encore. Ses hypothèses étaient lancées au fur et à mesure que sa réflexion se construisait. Enfin, son regard rencontra à nouveau celui de son directeur de maison. Le tableau était bouleversant, mais elle ne comprenait pas où il voulait en venir. « Pourquoi me montrer ceci, Professeur ? », s’enquit-elle d’une voix dépouillée de toute appréhension, seulement teintée de cette curiosité coutumière, presque frémissante de cette hâte de comprendre.




    ( Pando )
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    Dim 21 Mar - 5:01
    Puisse le sort vous êtres favorable. Lorsque le visage de la jeune fille avait quitter son air inquiet pour quelque chose de bien plus éclairé, Plume-noire détourna son regard de la scène. Pour lui le spectacle était finit mais pour Noor, il ne faisait que de visiblement commencé. Ses tableau avait payé beaucoup de dépense de l'orphelinat et pour le reste, il les entroposait dans le bureau de la direction pour égayer son coin a la sous-direction. En réalité il n'était pas moins la pour décorer que pour être hors de sa vue. Jin passait la plus part de son temps dans son bureau de directeur de serpentard et moins il voyait ses tableau, mieux il se portait. Malgré leurs élégance, leurs magnificience et les fantasme qu'il peuvent laisser danser dans les esprits de ceux qui les regarde, l'homme n'y voyais que le visage de sa mère, partout. Il n'y avait que le tableau qu'il dévoilait a ses yeux qu'il voulait conserver ; c'était son père qui était représenté ainsi que son amour pour sa musique. Une chose qu'il avait transmit a son fils, leurs point commun et leurs passe temps favoris. Il ne méritait pas le sort qu'on lui a réservé. Jun n'avait pas eu le temps de le connaître mais il pense qu'il aurait été totalement amoureux d'elle et de la jeune fille splendide qu'elle était devenue. Oui, il lui manquait et se sentiment n’échappait aux yeux de l'oiseau qui tourna lentement sa tête vers lui. Il n'observait pas le tableau mais au travers de l’émerveillement des yeux de Noor, il avait les moindre frame des image qui défilait dans son esprit tant il l'avait observé.

    « C’est magnifique »

    Il quitta alors ses pensé pour redevenir attentif a la jeune fille ainsi qu'a la raison de sa convocation dans son bureau. Il continue de garder le silence.

    « Le style est à la fois si épuré et en même temps si… mh. Si vivant ! »

    La peinture était bien loin d'être son domaine et bien qu'il ne savait expliquer pourquoi, il avait le sentiment qu'elle n'avait pas qu'un bon coup de pinceau. Il ne connaissait que peu ses enfant, seulement au travers des mots d'Alice et de leurs bulletin de note ; Sa présence en ses lieux semblait faire la différence et pourtant. Il avait voulut jouer avec son rôle de méchant aux yeux du monde des sorcier, il veux jouer les repentit et laisser le doute planer sur ses intentions. Aujourd'hui le fait de donner l'impression de marcher sur le fils de l'éthique protège son plus grand projet et son combat.

     "C’est si différent de ce qu’on voit comme technique ici. Je ne sais pas si je saurais la nommer… est-ce que des runes sont impliquées dans la composition, ou la peinture utilisée ? »

    - « Les quatres saisons », précise-t-il pour la culture de la jeune fille. Un nom qui rend hommage a l'oeuvre de Vivaldi, un compositeur de musique classique Moldu. Bien qu'actuellement le tableau soit au couleur de l'automne, dans quelques temps il sera a celle de l'hiver. C'est un Sadako Isawa.

    Ils sont rare, mais c'est probablement ce qui leurs fait leurs charme et leurs impacte. Jin étire un très légers sourire de satisfaction a la réponse de Noor. Il ne savait pas si elle c'était intéressé a plusieurs type d'art, mais si ce n'était pas le cas il était ravie de voir son sens de la déduction ou sa clairvoyance.

    - Et tu as tout a fait raison, ceci est une œuvre de peinture runique. En occident l'ont préfère un tout autre style de peinture magique rendant plutôt hommage a nos défunt mais en orient on préfère les runes. Elle compose les Art de la peinture mais également celle de la musique.

    Droit, il se tourne très légèrement vers son propre instrument accroché au dessus de la cheminé en arrière plan du bureau. Une guitare sombre au bois vernit et entretenue sur laquelle ont peu distingué des inscription en Kanji a la peintre blanche au reflet nacré.

    « Pourquoi me montrer ceci, Professeur ? »

    - Bien qu'il soit d'une innocence incommensurable, Alice a l’orgueil d'une mère qui peu parfois être particulièrement exubérante a la longue. Elle se rend fière pour la moindre des qualité de ses petit protégés.


    Il marque un temps d'arrêt, obligeant Noor a quitter le tableau des yeux en le déposant sur le sol. Lentement il se faufile entre son siège pour s'installer derrière son bureau. Comme un tique, il enlace  ses doigts les un dans les autres laissant sonné le tintement de ses nombreux bijoux d'argent.

    - Elle m'a montré quelques une de tes œuvres et a la vu des résultats en étude des runes, j'ai penser que se tableau pourrait t'inspirer a explorer de nouveau horizon.

    Il l'observa en reprenant le silence. Il ne serait pas d'une grande utilité pour lui apprendre les subtilité de l'Art Runique, mais il avait vu suffisamment sa mère peindre étant jeune pour en connaître les principe et savoir ou chercher. Il semble se tenir a son entière disposition pour répondre a ses question qu'importe la nature. Comme quoi, on ne connait jamais l'homme qui se tiens en face de soit tant qu'il n'arrête pas de nous surprendre.

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